DIPLOMATIE INTERNATIONALE ET SOCIÉTÉ par Dan Albertini
Entre (). Barack Obama crédité chrétien-président, est-il chrétien-berger-arrogant dans son comportement ou chrétien-troupeau dans ses déclarations ? Si le président-chrétien veut à l’image de pape-roi-ancien, décider à la place-spirituelle du chef de famille-démocrate, aussi devra-t-il s’attendre que l’insoumis-chrétien lui rende son dû à la confesse. Fermons les ().
Fidji est-elle devenue une administration religieuse adventiste par l’arrivée du président Jioji Konousi Konrote ? Si oui, est-ce l’Apocalypse annoncée, quand tout va bien alors sera la fin ? Car, le politique et vice versa, garantirait l’intemporel-spirituel après avoir longtemps soutenu le contraire. La revue Adventiste Messenger en fait foi sur une publication : Édition de l’amitié, Espoir pour un monde agité. Un présidence-adventiste aux honneurs militaires.
Quand les obligations de résultats réclament des miracles, non à la pièce ni sur un mandat mais aux besoins. Tel que Dieu dans notre discours de la foi, les fournit. C’est notre promesse dans l’évangélisation comme dans les prédications. Mieux, les bénédictions doivent pleuvoir d’avantage que sur Israël qui a souvent désobéi, ou la descendance d’Abraham qui n’avait encore la foi chrétienne du retour du sauveur. Il n’y a pas mais qui tiennent ni de conjoncture car nous sommes avisés. Nous en faisons la promotion de cet avis, c’est ce que Kent Kingston doit retenir dans les implications de son article « Le premier président adventiste des Fidji donne la priorité à Dieu » publié, à côté de la colonne du Rapport Mondial qui parle d’ADRA P.6 Édition de l’amitié Adventiste World, (sans date d’édition). Soulignons le titre en Front Page : Espoir pour un monde agité. Il s’y trouve aussi trois suggestions de lecture dans cette priorité : À vous la santé au maximum. Une vie qui transforme le monde. Et, Établir une relation avec Christ. Pour un magazine, cela relève plus que de l’attribut commercial éditorial mais, une position éditoriale religieuse éloquemment illustrée en page couverture finale dans ce cas-ci : (2) mains, un smartphone ; suggestion d’écoute, le monde adventiste. Curieux comme le Pape, c’est la garde d’honneur présidentielle armée de la baïonnette au fusil qui est passée en revue et non une armée du salut-bible-en-main. Un choix. Et comme conclusion sous une forme de question suggestive : « Les Adventistes peuvent donc dormir tranquilles ? ». Verra-t-on les autres ne plus dormir tranquilles alors ? Une île capitaliste ou chrétienne ?
Plus question d’évoquer Ertha Pascal Trouillot qui a été nommée [effet constitutionnel après un coup d’état] mais qui s’est faite adventiste par la suite et prononce des conférences par la vertu du prestige de sa présidence provisoire passée. Ni Ben Carson qui n’a su parvenir en nomination pour les primaires du Parti Républicain en Amérique. Ou, Colette Jacques qui n’a pas gagné ses élections en Haïti, en 1990 et critiquée par sa fraternité spirituelle.
Le fardeau de la preuve revient ici au prophète. Exemple. Je présentais entre parenthèse sur une autre édition. Grand orateur de métropole. Théologien amateur de lecture matinale du magazine Le-Monde. Thématique diverse : Jésus crucifié, Paul par la foi, Daniel et le rêve du roi, Pasteur Karl Johnson plaide en vibrant témoignage (93). Il parle d’Apocalypse. La clientèle s’inquiète de l’imminence d’un retour. Un élément de discorde contraste cependant, l’Europe géant au pied d’argile ne sera jamais UN, il est écrit. Quel rapport ?
Imaginons un pape tenant discours. Négationniste sur Adam, sur l’enfer, sur Dieu, tel que décrit dans les annales connues du Catholicisme. Qui comprend l’inverse des versets bibliques. Qui reconnaît donc un mensonge en tout cela. Que fait-il alors, là ? Démissionner.