(La marche du temps et les roues de la machine de l’histoire).
LA MÉMOIRE COURTE DES CLINTON ET DU PARTI DÉMOCRATE AMÉRICAIN
09-08-2016. Quand la mémoire courte des Clinton fait défaut, on veut faire un tollé pour accuser Trump de ce que Hillary a prémédité en 2008. Extrait.
Je cite l’Express : « Tout peut arriver dans la course à l’investiture démocrate… La preuve, le favori en 1968, Bobby Kennedy, a été assassiné. Tel est le raisonnement tenu par Hillary Clinton pour justifier son maintien face à Barack Obama. Une bourde de plus pour la candidate, désespérée de se voir distancée. »
source: http://www.lexpress.fr/actualite/monde/amerique-nord/clinton-gaffe-en-evoquant-l-assassinat-d-un-kennedy_503815.html
QUAND ON PARLE DE TRUMPING THE MIND
05-08-2016. Depuis la lecture de Trumping the states, après Trumping the world, la vocation de Trumping the mind avent Trumping the moon dans notre série sur la démarche DT, arrive plus tôt que prévu. Le New York Post publie ceci :
« Hillary Clinton nearly called her rival Donald Trump her “husband” before quickly correcting herself and saying Trump was her “opponent.”» http://nypost.com/2016/08/05/clinton-mistakenly-refers-to-trump-as-her-husband/
Le rêve caché d’Hillary Clinton serait-il d’avoir Trump Jr. dans son… ?
HILLARY ASSOMME BILL AVEC UN COUP DE DISCOURS D’INVESTITURE
28-07-2016. L’histoire se passe à la Convention du Parti Démocrate américain. Bill le politicien venait de revamper l’avant-veille ses souvenirs personnels d’avec Hillary Rodham l’inconnue disait-il de celle qu’il connaissait mieux que les histoires forgées au fil des ans. Impressionné, installé à l’angle communiste de Bill, le colistier Kaine amusé par la contenance de sa patronne observe Bill assommé lui-même. Bill le grand connaisseur assommé, croit probablement entendre des vieux discours éculés d’une compagne godichonne que le président-majordome a tant vanté la veille. Kaine échoue son HUM!
SILENCED BY DNC 26-07-2016. Les pro-Bernie Sanders se sentent trahis et hurlent Sanders leur proposant Hillary. Résultat: « silenced by DNC » un parti qui prétend s’ouvrir à la démocratie face aux Républicains.
Debbie Wasserman Schultz a annoncé sa démission
24-07-2016. Hillary Clinton se retrouve avec un autre boulet attaché aussi à son colistier, une autre affaire d’emails (20 000) pour annihiler Bernie Sanders à titre de candidat démocrate en sa faveur.
« Everything that Donald Trump and Mike Pence are not »
22 juillet 2016. En choisissant Tim Kaine comme colistier, Hillary Clinton s’exprime ainsi : « Kaine cares more about making a difference than making headlines », and is « everything that Donald Trump and Mike Pence are not. ».
Une déclaration qui risque d’associer d’abord le mot « cares » à « careless » dans « extremely careless », du FBI à son égard dans le dossier des emails.
Cela associe Kaine à ce pattern, donc différend réellement de Donald Trump et de Mike Pence. Elle vient d’offrir ainsi sur un plateau d’argent, l’argument et la formule aux candidats républicains, pour la trainer dans la boue avec son colistier.
Mieux, trouve en Kaine ce souffle qui pourra la soutenir comme danger pour une Amérique sécure que propose Donald Trump de son côté.
Extremely careless 05-07-2016. Le FBI dans l’affaire des emails classés secrets sur le serveur de Hillary Clinton, James B Comey , directeur du FBI : « Extremely Careless » mais pas de provision légale pour des accusations criminelles.
Le Congrès veut savoir si la Secrétaire d’état a menti au Congrès pour avoir dit différent au FBI « Les preuves rassemblées par le FBI lors de son enquête sur l’utilisation par la secrétaire d’Etat Clinton d’un système de messagerie électronique personnel semblent être en contradiction directe avec plusieurs aspects de son témoignage sous serment » au Congrès, déclarent Jason Chaffetz, président de la commission «Oversight and Government Reform» de la Chambre, et Bob Goodlatte, président de la Commission judiciaire de la Chambre, dans une lettre au procureur Channing Phillips.
« It’s stamped on the front of his goofy hats »
27-06-2016. Si Hillary reproche à Trump d’être trop un antiféministe, en s’alignant avec Elizabeth Warren mais curieusement choisit un homme, comme colistier elle aussi, à la place d’une femme. Jouer dur dira-t-on mais elle ne trouve son alter ego présidentiable dans toute cette grande Amérique.
Hillary ne fait plus confiance à Bill, elle va chercher Obama le croyant assez fort pour la hisser à hauteur de commandant en chef, elle l’«extremelly careless» de son administration.