DIPLOMATIE INTERNATIONALE ET SOCIÉTÉ par Dan Albertini
Entre (). Nox veneris dies est, la virgule est un précipice. Je dépose l’homme Pardaillan pour la piété, me révise. Le mikveh accompli, pervers je me réjouis de soulagement. Du réveil suit l’ensemble vespéral dominical, il faut un lendemain. Je refuse la carte Sacré-Cœur et, ne suis Bossu de Notre-Dame. Suis du Christ-Roi de l’oncle-paternel chanoine-Roger. La faute ne me revient, elle accuse la religion. Prince, je suis en attribut à Port-au-Prince, l’appui de Graham Greene en défense. « Il n’y a pas de littérature sans péché ». Fermons les ().
Culte de l’insolence, aiguillage linguistique, pédagogie par contagion, il faut viroler la diplomatie féérique implantée. Stranguler, asphyxier cette coercition déguisée, perçue comme macro culture. Elle nous tient l’humeur en liesse mais l’intelligence en lisière. Je navigue ici par la société, sur les océans de la chronique diplomatique globale diligentée. Profite de mon verbe. C’est le blasphème irascible au milieu d’une meute de scribes-voltairistes. Osé, je cite Otto von Bismarck en dehors de son Allemagne Kulturkampf qui a produit Mein Kampf. « Provoquez donc une émeute pendant que vous avez encore une armée pour l’étouffer ». La troupe du premier blasphème, celle de la surprise, non pas la dernière. Comprenez, je suis non du voyage mais en voyage ; récupère encore un autre pour la destination. Souffrez les Lettres Persanes de Montesquieu. Je suis authentique dans ma résolution, celle d’adopter la théorie de l’absurde du plus grand escroc du monde ; la preuve du sieur Legros. « Fernand Legros déballa le roman de sa vie sous la plume de son ami l’écrivain Roger Peyrefitte et accabla de son mépris le défunt Hory. Legros fit même interdire la traduction française de ce livre avec un argument savoureux : Irving avait été désavoué aux Etats-Unis pour une autobiographie non autorisée de Howard Hughes. Le manuscrit aurait été un faux d’après H.H. ». Source, http://www.artefake.com/F-FOR-FAKE.html. C’est donc un principe sacré chez moi, la théorie de l’absurde, in extenso. Robespierre le forcené et il faut l’être pour le dire : « périsse les colonies plutôt qu’un principe ! ». Je persiste et signe : « Hâtez-vous lentement, et, sans perdre courage, vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage ». Je vois ici Boileau. In vino Veritas il faut ignifuger notre alphabet insulaire de 1804. l, i, b, r, e. Cinq lettres.
Cela va sans dire, nous carburons aux fameuses citations en diagonal, en chapeau-de-curé pour exposer à la manière de. J’avoue pécher en ce sens. Car, je m’y oppose farouchement à cette vertu de Michel-Ange Monplaisir. Une source de citations qui du point de vue ergonomique, comble les espaces vides de la pensée pour un ouvrage matériellement volumineux. Jean Prophète ne m’en voudra car MAM aura beau écrire doctement ainsi que cela ne vaudra mieux pour notre littérature que sur le marché des auditoires passifs. Comme toutes ces fameuses citations exogènes sur notre axe de diplomatie internationale, qui font de nous des invertébrés-dits-protégés. Je me préfère mieux à la sujétion orale, vive, qui prête sa force au colloque utilitaire ; grâce à cet alphabet des nuits dont Milcé fait foi. De fait je force William Shakespeare à m’approuver : « le reste est silence ». Si l’oralité ne s’y prêtait, ce serait la peine imposée que l’on reproche à Howard Hughes, des tonnes de notes écrites quand il refusait de parler. HH a carrément oublié Jean Jaurès. « C’est allant vers la mer que le fleuve reste fidèle à sa source ». Je sais que l’éditeur de la flibuste du Connecticut m’avait reproché ce régionalisme étendu. Mais, Alphonse Daudet dit : « Du dehors, la maison n’avait l’air de rien ». Il faut donc pénétrer le régionalisme pour en admirer les richesses dont l’oralité est le culte de l’insolence, confondre Voltaire au cimetière du château.
Pour le culte de l’insolence. Québec 2003. Une attachée politique d’origine haïtienne fille de, m’accuse d’être irrévérencieux. Je préfère le qualificatif de l’Ambassadeur Raymond Alcide Joseph dans sa dédicace : « intrigant ». Cela me convient mieux et bien que je ne l’aimasse, je dois répéter Louis XVI à ce stade : « C’est légal, parce que je le veux ». Comprenez, je suis prince. Né de Port-au-Prince non par adoption ni par naturalisation. Le pouvoir d’hériter. À ce sujet, une amie africaine vivant dans la commune de Gland en Suisse me tint à peu près ce langage : « pourquoi tu dis de ton ouvrage (en confection), un prince sans couronne au palais, un prince n’a besoin de couronne, il est prince. C’est tout ». Je ne répondis donc à la Dominique O : silence, et c’est vous maître de l’absurdité puisque mélomane de l’écriture qui attendiez un son. Jean Comte de Maistre vous dit : « toute nation a le gouvernement qu’elle mérite ». Si vous trouviez ne serait-ce que l’ombre d’un doute, je vous dirais les mots de Marcus Pacuvius : « Où l’on est bien, là où est la patrie ». Je suis donc prince même en république, sans obligation de coercition. Montesquieu du voyage le redira, la France a besoin de connaître le marchand persan, c’est une autre culture qui fait vivre l’épistolaire. Dr. Hugues St. Fort Ph.D du structuralisme devra le comprendre, Napoléon Bonaparte revivra pour le lui dire « Cela n’est pas possible, m’écriez-vous ; cela n’est pas français ».
Je sais donc mon arrogance de saveur-Marc-Aurèle : « Ma cité et ma patrie, c’est Rome et c’est le monde ». Détrompez-vous je me sais bien en Amérique. « Ah, Que la République était belle sous l’Empire ! ». À la manière d’Alphonse Aulard. S’il n’y a de danger pour l’étranger c’est que je ne suis adepte de Nicolas Machiavel qui dit : « en politique le choix est rarement entre le bien et le mal, mais entre lire et le moindre mal ». Certains diront que c’est de là l’inspiration de Dr. Duvalier qui lance sa baliverne : « La reconnaissance est une lâcheté ». Résumons, fastidieux détour pour une affaire de transmission de pédagogie par contagion ?
Rappelez-vous du début, d’abord je m’introduis sur invitation chez des as de l’écriture qui par obligation, admirent aujourd’hui, un nouvel immortel. C’est donc pour cela que je forge l’empreinte par la théorie de l’absurde de F Legros. Et pour mieux comprendre Legros, il n’y a de référence que le mystérieux personnage Howard Hughes qui se partageait en écriture cinématographique, épistolaire, administrative. Littérature scientifique, technique. Langage du pouvoir, de domination, de la guerre. Le langage de la victoire aussi. En fait, langage Américain qui n’est tellement inconnu à nous francophiles d’Haïti qui avions fait la guerre dans le temps. Oh mort, où est ton aiguillon ! Nous aimons Hollywood par-dessus tout. Ses séries télé, les Feux de l’Amour que suivent nos femmes, tournés au repère de HH. Ses nouveaux films de guerre de F16 inspirés des avions de HH, qu’apprécient nos hommes. Amérique qui dans son langage a pensé à nos enfants aussi. Les jeux vidéo sur HH, qui font craindre les mères. Ils attirent tant le père qui est tenu en échec par le gamin de sept ans. C’est donc là qu’intervient l’absurde quand on a appris à transmettre, soit nos belles citations françaises, soit le langage du regard avec le cil froncé pour mesurer la colère. En outre, nous avions oublié comment apprendre, nous n’avions appris le langage, la littérature du pouvoir aux États-Unis d’Amérique, le langage des joutes, ni de l’économie. Carrément le langage de la gloire. De bon conseil sommes-nous que notre diplomatie n’influe sur les constellations du pouvoir économique pour ce que Laferrière dit de nous à Jeune Afrique : « l’écriture a donné aux Haïtiens le sentiment de n’avoir pas tout perdu ». Prenant l’exemple de HH qui malgré l’épistolaire, a tout gagné. Nous n’avons point besoin d’imaginer, c’est un fait. Hughes avait compris de son temps que les enfants allaient dépasser en apprentissage les adultes leurs parents avec ces jeux-vidéo d’abord, ces jeux en ligne aujourd’hui. Influence. Héritage !
Influence. Citizen Hughes de M. Drosnin/Robert Laffont, extrait Chap.2, P.104 : « je pense que c’est seulement me rendre justice à moi-même que de vous rappeler qu’à l’âge de 25 ans j’ai reçu la plus haute distinction de notre pays pour avoir mis sur pied un système de contre-espionnage. À 27 ans, j’ai reçu la mission de première importance de convaincre les Allemands que le débarquement aurait lieu dans le Sud de la France et non en Normandie ».
Si vous êtes l’Haïtien de NY, vous cultivez par Merten la diplomatie d’abandon sous l’effet de la coercition. Vous francophile, ne trouvez rien à apprendre d’un Donald Trump qui vous semble un vulgaire Real Estate aux yeux d’Hillary qui voit balader des milliards en essais électoraux avortés. Où est alors votre encre dans cet univers où Trump ne s’intéresse à vous pour y investir un porte-parole ? Je me plais à répondre : relisez toute la littérature sur Howard Hughes. Si vous aviez lu ceci, vous n’êtes sûrement pas diplomate. Comprenez pourquoi vous espérez ce pronunciamiento pour y venir prendre vos ordres chez tonton. Si vous ne digérez le langage. Ou, êtes du rapport de force dans le Cid, de la Maréchaussée. Soyons plus réaliste. Sachez que Paris décrépite plait à Shakespeare. L’estuaire de l’esthétique oblige Dr. Mars Ph.D par sa thèse. L’utilitaire y siège, soyons alors cet insolent audacieux des lettres libres.
Et ce qui influence nous Zénon de la sagesse. Ce bouquin-parchemin qui engage la coupe massive d’arbres réputés poumons de la planète. Chloration de déchets d’encres toxiques concentrés, assassins de nappe phréatique. Utilitaire paradoxal dans nos propres paradoxes quand nos enfants par effet contraire nous entrainent du super marché à la boîte de gamer pour lui offrir en condition hebdomadaire, jeu branché. Jeu virtuel. Et, nous l’aidons. Refiler, « garage sale », cotation, consultation. Qui donc est dépendant dans la logique pure et réelle ? Mieux, Howard Hughes a réussi à être dans le temps comme dans leur tête, donc la nôtre sans qu’on s’en rende compte. Wikipédia nous dit que : « La vie et la personnalité d’Howard Hughes ont inspiré le personnage de Robert House dans Fallout : New Vegas. Mr House étant un homme d’affaires brillant… » Il y a plus. Dans « L.A. Noire, Howard Hughes apparaît sur une photo et son nom est mentionné à plusieurs reprises au cours d’une mission téléchargeable, «Galvanoplastie Nicholson». Le joueur se retrouve également dans un entrepôt de la Hughes Aircraft…, et est confronté à l’homme chargé de la sécurité de Hughes dans le jeu, Vernon Mapes ». Télémaque est donc l’obligé de la bonne conscience. Il ne s’étonnera du fait que son ami-Laferrière s’est essayé par la filmographie. Leconte décompte sans s’en rendre compte. Dans le cinéma. La télé. Legba n’atteindra le quorum HH même s’il participera à l’essai de textes-Bédéistes. Ou, est en sa période-Enthoven. Oh Académie, tu es lustrée de Zeus vivants au nom d’immortel, n’en déplaise à sa majesté. Mieux, je lui dirais que le défunt HH influence la littérature aussi. Le même lien sur l’icône propose : « Howard Hughes est un personnage récurrent des romans noirs de James Ellroy jouant notamment un rôle important dans sa trilogie Underworld USA. Stuart Kaminsky, L’affaire Howard Hughes. « Grand Détectives » nº3150, 2000 ». Résumons sa constellation : plus que lumière-politique philosophe-dit-Voltaire du « j’écris pour agir », avec sa correspondance, son château, son implication dans les sciences, dans les forges du château, La comète Hughes traversa par (avion) surprise l’Allemagne nazie malgré l’interdiction d’Hitler, se confondit en épistolier, bâtit des records dans l’aviation et laissa en héritage. Hughes Aircraft, Toolco. Créa un groupe d’entreprises qui construisirent : avions militaires, hélicoptères de combat, missiles, satellites, systèmes radar, équipements militaires, de télécommunication. Influença les Orson Welles, De Palma, Coppola, Clifford Irving. Médecins, psychologues, politiciens, diplomates, environnementalistes…, etc. En bref, Howard Hughes aura à lui tout seul provoqué un développement académique américain soit par le contenu de sa littérature politique, soit par l’influence de ses actions diversifiées dont le cinéma, la chanson, la musique, les jeux…etc. Si vous croyez être Voltaire ou Rousseau, risque est de vous découvrir Howard Hughes. Vous ce Jacobin indigéniste trapéziste de la migration sous influence Diogène.