DIPLOMATIE INTERNATIONALE & SOCIÉTÉ par Dan Albertini
Entre (). Que dira l’Ouganda à voir (vidéo) l’image de Noirs abrutis par le système. Abattus publiquement, d’autres atteints, les mains en l’air, une scène public d’aide en faveur d’un bénéficiaire, dans l’Amérique made in Obama ? Fermons les ()
Vous vous croyez au cinéma peut-être, détrompez-vous, ce n’est pas le film The Butler mais un spectacle de passation entre un majordome et son tenancier. C’est du moins la littérature suggérée de l’image fournie par la grande croisée anti-Trump des Démocrates de Barack H. Obama. La situation est éprouvante, grave pour cette jeunesse qui observe et prend acte. Elle prend acte quand un candidat se vantait d’avoir fumé du pot dans sa jeunesse, ce qui implique une possession illégale, une acquisition et une consommation du même genre. Il aurait ainsi suggéré par cette déclaration irresponsable, ce qui est encore un délit, au moment où, devenu président sortant, il se croit le plus habile orateur qui fera tout avaler à un parti, à un électorat.
Surprise monsieur le président, l’homme crédible. Sa fille est filmée, par une copine, lors d’un évènement public, en train de fumer de l’herbe. Prohibé ? Précisons, sa fille aussitôt majeure. Quelle éducation, quelle passation, quel pot ! Quel Parti Démocrate. Quel pays demain. Non monsieur le président, ct’édubutler gardez-le pour vous.
Je ne considérerais pas l’aspect à savoir si c’était son premier joint. Conséquemment, si non, un peu plus tôt, mineur, où l’aurait-elle trouvé, tranquille, légale, aux yeux même de parents dits-premiers répondants ? Ou, le sachant, quelle hypocrisie affichée par cette photo-réprimande ? Si oui, quelle révolte démonstrative ?
Je partage tout de même l’avis de ceux qui pensent qu’il ne faut pas oublier que nous assistons à une campagne électorale avec son impact américain. Mais, président en campagne sollicitant un second mandat, ce père-président disait-il aux Noirs d’être des parents responsables ? L’avait-il dit aux Blancs ? Un contexte électoral là où la surenchère monte étonnement plus haut que lors d’une vente aux enchères de terrains agricoles à l’époque de la grande dépression pénalisant le fermier américain ? Oh langage yankee, puis texan ou alors religieux…, etc. En fait, scandale & scandales.
Le président qui se croit meilleur que tout le monde, après preuve fournie, admettons-le pour les besoins de la cause. Mais, il se croit inférieur aux compétences de cette candidate qu’il veut certifier plus intelligente, en dehors d’une mise à l’épreuve. Non, on n’achète pas. Je rejette par la vertu des déclarations de soutien de C. Rice. Traduisons : il est capable, parce que l’Amérique est un pays qui détient de toutes les ressources nécessaires pour accompagner le président dans ses décisions. Son invité traitait le candidat adverse de quoi, de charlatan ? Gentleman il n’a su rien dire ?
DT dans les faits n’a pas de fichier criminel pour racisme exercé aux US. Voici par contre un extrait de ce qui se passait entre Clinton et Obama en 2008 : « L’homme de race : comment Barack Obama a joué la carte de la race et blâmé Hillary Clinton » (www.wsws.org/francais/News/2008/mar08/obcl-m04.shtml ». Le monde à l’époque, a surenchéri. Surtout Hillary qui en mai 2008, rappelait une triste époque d’assassinats aux États en juin-68. Elle a malgré tout été sa Secrétaire d’état. Effet Butler ?
Nous lui répondons alors, puisque Bill serait l’autre partie de l’intelligence qu’il implémente, à quelle proportion, comme étant le diminutif d’une Hillary pré-agrégée. Si Bill voulait, si Bill pouvait, il n’aurait laissé cet héritage grincheux, par Barack Hussein Obama, au point de refaire tout un débat de récupération avec DT, sur l’immigration illégale, sur l’économie. Sur les relations sociales avec les Noirs, quand Barack lui-même a ré-institué le volcan-raciste en recevant policier et ami, sur le gazon de la MB pour s’immiscer dans une affaire de justice de county, au détriment des droits de son ami, une projection politique ignare sur le principe de justice fondamental. Sur l’espoir. N’est-ce pas normal alors pour sa femme, lors de la convention, de voir en Hillary la porte ouverte pour les femmes à la présidence, mais en fermant les yeux sur l’héritage de Barack, d’une part, laissé à sa fille, soit dans la consommation d’herbe, soit comme Noir aspirant à la présidence. D’autre part, aux Noirs en général, dans un pays qui revit la ségrégation ouverte aux caméras.
Revenons donc vers BJC président. Il aurait évidemment produit le 11/09/2001 par un effet de causalité quand il préféra courir après les filles, dans le Bureau ovale, comme l’explique Garry J. Byrne, que d’outiller le pays même après Oklahoma, etc.
Il ne suffit donc pas de voir DT avec les yeux de la France antiburkini. Cet article de la SRC rapporte peut-être un fait sélectionné dans le but d’informer ici.radio-canada.ca/nouvelles/arts_et_spectacles/2016/08/01/002-simpsons-presidence-americaine-clinton-trump-course.shtml. La raison proposerait de ne pas le prendre comme si « la messe est dite », ni de se servir de McCain pour démolir électoralement DT. Ce ne serait du journalisme. Peut-être serait-ce un plan non avoué de France-Presse en fonction du doute de Trump sur l’immigration de Français en Amérique.
Alors si c’est le cas présent, en considérant le scandale UBS, si DT n’est pas élu quand il parle de l’Art de dealer dans son ouvrage qu’il propose comme alternative pour la paix, l’Amérique est fichue. Notons que Bill Clinton estime lui-même avoir menti même à ses nouveaux-dindons-gay aujourd’hui, car c’est comme ça qu’il considère ce qu’il évalue comme ses électeurs aveugles. Hillary se croirait d’autant plus maligne de se reproduire, en prenant les autres pour des dindons d’une farce.
Concluons là par une expérience du rire sarcastique chinois à ce sujet. Un Chinois montréalais rencontré à la Foire de l’IUT à Hong Kong, nous explique que, quand on se considère smart tandis que le Chinois nous voit plutôt bête, ce que DT traite dans ses considérations politiques pour pouvoir mieux dealer avec les autres nations (18 B$) de dette, P.45 dans DT La vérité crue. Et, notre référence externe, Julian Smith dit à Genève en 2008 : « personne ne donnera le mandat à Bush, en Géorgie de Saakachvili. ». L’Amérique de Barack est endettée, the Butler ne sait faire la leçon à personne quand Hillary se rectifie et rentre dans le calcul économique patriotique de Trumping the Mind. The Butler est donc un état d’esprit chez le président Obama.